Eliott Lapotre | Lost Paradise 2
Par Paul Humbert -
Le Vosgien Eliott Lapotre présente sa dernière vidéo : Lost Paradise. C’est la deuxième fois que le pilote GT dévoile une vidéo avec ce nom-là, et il signe ainsi son projet le plus personnel. On découvre la vision du ride par Eliott et les shapers qui l’entourent, au coeur des Vosges. Nous avons échangé avec lui :
« J’avais envie depuis un moment de faire le deuxième épisode de Lost Paradise. J’avais fait beaucoup d’erreurs pendant la conception de la première vidéo en 2018 : j’avais tout construit un peu trop petit, et niveau riding j’étais resté dans ma zone de confort. Cette fois-ci, je m’étais promis de faire tout plus gros et surtout de pousser mon ride le plus que je le pouvais. J’en ai ensuite parlé aux copains, tout le monde était partant et on a lancé le projet ! »
De quoi aviez vous convenu avec Paul Fisson et le reste de l’équipe vidéo ?
Je voulais surtout que ce projet soit intéressant pour tout le monde : moi sur le vélo, mais chacun dans son domaine comme le shape ou la vidéo. Tout le monde s’est fait plaisir, c’était super naturel et j’ai adoré. La vidéo a été réalisée par Paul Fisson, Edgar Hans, Jules bellot et William Flandrin. Je suis fan de ce qu’ils font, c’était le crew parfait. Il faut également remercier les photographes qui sont venus m’aider.
Combien de temps a été nécessaire pour shaper les spots, et quel boulot se cache de ce côté-là ?
Le projet aura duré 20 mois en tout ! Ça a été plus ou moins intense, et on a dû ajuster le timing. Au final, le projet était super long et dur. L’été dernier, la pluie ne nous a pas aidés. Les drains que nous avions creusés se refermaient, et cet été, c’était l’inverse. Le sol était tellement dur qu’il était difficile d’avancer. Heureusement, quelques sources nous ont permis d’apporter un peu d’humidité et on a pu filmer sur des jumps bien propres. C’était une belle mission !
Vidéo : Paul Fisson, Edgar Hans, Jules Bellot, William Flandrin
Crédits photos : Damien Guiot , Hoshi Yoshida , Eric Nussbaumer, Manon Samaran, Edgar Hans, Paul Fisson.