Les crapauds avec l’équipe Vojo-Ion

Par Paul Humbert -

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Les crapauds avec l’équipe Vojo-Ion

Les 24h des Crapauds fêtaient cette année leurs 30 ans ! Un anniversaire de choix pour cette épreuve de référence dans son domaine, mêlant esprit festif et un petit fond de compétition. Chez Vojo, en tant que fiers partenaires de l’épreuve, nous ne voulions manquer cela sous aucun prétexte ! Nous avions d’un côté Olivier avec son défi 24h solo en e-bike, et de l’autre la fusion d’une autre équipe Vojo avec celle des petits gars de chez Ion. L’équipe Vojo-Ion s’est donc lancée avec 8 riders, hommes et femmes, e-bikes et vélos classiques, aux niveaux et aux vélos assez hétéroclites. Pour la performance, on repassera, pour le plaisir, on reviendra !

Côté Vojo, il y a Esteban, Paul, Emilie, Romain et Florentin.

 

 

On se retrouve donc à côté du stand Ion qui, avec son équipe, découvre les crapauds et avec qui nous avons réalisé une série de maillots pour les membres de la rédaction.

 

 

Tradition de l’évènement, le premier tour se fait déguisé et si plusieurs membres de l’équipe se portent volontaires, il ne peut y avoir qu’un Tigrou, et ça sera Pierre-Luc (comme le veut la règle sacrée du pierre-feuille-ciseau).

On mise sur le bon tigre puisqu’il sort en tête du premier virage (et on le devine en pleine remontée sur cette photo, juste derrière le pirate en noir). Il se fera toutefois rapidement dépasser par les fusées parties pour jouer la gagne sur cette course de 24h (même si, rappelons-le, il n’y a rien à gagner aux crapauds, et c’est ce qui fait aussi la beauté de l’évènement).

 

 

Les relais s’enchaînent ensuite avec Thomas, puis son frère Julien qui peine à traverser la foule de la zone de relais. Rappelons que le relais est passé après qu’une puce de chrono (partagée par les membres de l’équipe) soit transmise au concurrent suivant.

Viennent ensuite les tours d’Esteban et d’Emilie. Les tours sont réalisés entre 50min et 1h05 sur les parcours ebike et traditionnels. C’est sur la zone de relais qu’on croise le plus souvent Olivier quand il ne s’arrête pas au stand.

 

 

Les ennuis commencent pour Romain qui part avec un ebike qu’il ne connaît pas. Il allume ce dernier mais presse sur les pédales au moment du démarrage et met le moteur en erreur. Il faudra attendre 4 kilomètres et une belle galère avant qu’il ne le rallume et reparte avec un vélo complètement fonctionnel pour une découverte du parcours ebike.

Place ensuite à Florentin qui découvre le VTT de nuit. Tout allait bien, jusqu’à ce que sa lampe s’éteigne en milieu de tour, et les circuits de Rozerieulles sont tout d’un coup devenus moins accueillants. Ce qui reste chaleureux à tout moment, c’est l’organisation des crapauds, ses bénévoles et le public présent jusque tard dans la nuit. L’ambiance entre les coureurs est vraiment bon enfant et on quitte l’idée de compétition assez facilement.

 

 

C’est probablement le problème de votre serviteur, qui prend le relais suivant après avoir goûté à la tartiflette du stand Ion (merci à Bertrand aux fourneaux) et au ravitaillement imposé à la tombée de la nuit.

On enchaîne ensuite les relais, avec plus ou moins de ponctualité, pour retrouver la lumière du jour. On oublie le chrono et on se fait plaisir sur les deux tracés des crapauds.

En fin de matinée, tout le monde accuse un peu le coup question fatigue mais l’avantage d’une grosse équipe, c’est qu’il y a toujours quelqu’un pour garder les autres éveillés.

C’est Emilie qui boucle notre course de 24 heures avec finalement peu de tours au compteur mais toujours le sourire aux lèvres.

On range les chronos et on s’étale dans l’herbe pour regarder la fin de la coupe du Monde de Leogang et la victoire de Loïc Bruni.

À l’année prochaine les crapauds, bravo et merci encore !

ParPaul Humbert